Nous sommes arrivés à Phetchaburi ou « Cité des singes » dimanche 17 mai, en fin d’après-midi.
Nous avons posé les bagages à la White Monkey Guesthouse et sommes directement partis dîner au Rabieng Rim Nam, un délicieux et magnifique restaurant en bois, situé en bordure de rivière.
Le propriétaire est aux petits soins pour nous, et la musique de fond pop ou jazzy. C’est une renaissance d’entendre de la musique que nous connaisons !
Lundi 18 mai, nous louons deux scooters pour partir à la découverte des environs de Phetchaburi sous un soleil, hmmm… bien présent !
Nous nous sommes notamment arrêtés à la très impressionnante grotte Tham Khao Luang. Chemin faisant nous avons rencontré des singes au regard et à l’attitude pas très sympathique, pour le plus grand bonheur de Diane. Fort heureusement, sous les conseils avisés d’un Thaï, nous étions partis armés (d’une branche…).
Après avoir descendus quelques marches nous nous sommes enfonçés dans ce gouffre rempli de stalactites. Un faisceau lumineux féerique apporte de la lumière à un Bouddha doré. L’endroit est paisible et gigantesque, on y trouve plusieurs salles contenant elles aussi des dizaines de statues de Bouddha. Les filles en ont profité pour faire une prière et déposer des offrandes.
Nous nous sommes ensuite dirigés vers le parc historique de Phra Nakhon Khiri. Entre temps, nous avons subi une attaque de singe, scooter arrêté, rien de grave mais une grosse frayeur…
Nous sommes montés au sommet du parc en funiculaire, le ciel est menaçant mais magnifique.
Ce parc domine la ville. Il y a un palais (résidence secondaire d’un des rois de Thailande, Rama IV) et plusieurs temples — de styles différents — construits sur les collines du parc.
Il y avait une lumière magnifique, beaucoup de verdure, les singes grouillaient (c’est officiel, à part les gibbons de Cat Tien Diane déteste les singes !), certains se montrant agressifs.
L’orage a éclaté et nous nous sommes réfugiés dans un temple le temps que la pluie cesse. On y trouve une remarquable acoustique et pour une fois, Robin peut s’époumoner sans se faire gronder !
Le soir, nous sommes repartis écouter du jazz en mangeant du Padthaï (et les gâteaux de Paddy…).
Phetchaburi était une très belle halte. Cette ville, tout du moins ce que nous en avons vu nous a beaucoup plu.
Nous avons repris la route de Bangkok mardi 19 mai, dernière étape du voyage de Paddy et Milly. Nous n’avons pas vu passer ces 3 semaines…
A bangkok, il nous restait deux choses à voir dans notre programme de visites : le Wat Traimit, où trône un somptueux Bouddha assis de 5,5 tonnes en or massif ! et Asiatique, un grand marché nocturne en bordure de rivière où les enfants ont pu faire un tour de grande roue. Et c’est donc chose faite !
Mercredi 20 mai, c’est le jour du départ de Paddy et Milly. Nous étions tous les quatre bien tristes de les voir partir mais aussi tellement contents de leur visite !
Nous avons vécu des choses incroyables, des moments inoubliables… Un grand merci à tous les deux d’être venus nous rejoindre dans notre périple et à très bientôt à La Réunion.
Prochaine étape à quatre, Kanchanaburi ville où le soleil brille, brille, brille…
Anéantie, Diane de la jungle consulta une fois encore les écrans de contrôle situés au cœur du grand chédi de Phetchaburi ; il n’y avait plus aucun doute, les armées de Vega convergeaient vers la planète Bleue. Les efforts conjugués du Prince des Étoiles et de ses amis terriens avaient été réduits à néant par cette poignée de petits singes glapissants et sautillants qui les avaient enfermés au cœur même du Phra Nakhon Khiri dont ils avaient obstrué consciencieusement toutes les issues. Au-lieu de s’abandonner au désespoir, notre héroïne, surnommée Ching-Chang-Chung par les tibétains (N.d.t. « La déesse des mille stratagèmes ») entra en méditation profonde. Son corps astral s’évada de son enveloppe mortelle et découvrit rapidement la cachette de Goldorak. Éveillés en sursaut, Hugo P. et Robin P. l’assistèrent afin de lancer le robot merveilleux. Il ne leur restait plus qu’à exterminer les singes afin de délivrer Actarus. La planète bleue était sauvée !
Hugo dit :
« Merci Paddy pour les commentaires, j’adore ce que tu écris ».
Personnellement, je suis perdu : Bob Morane qui pilote Goldorak au milieu des singes, Tintin qui s’en mêle, moi je m’emmêle !
Bisous 🙂
Mon garçon, tout est dans le jeu de hanches, et l’espoir de voir un jour Hugo réécrire les palpitantes aventures du dernier fantôme de la famille Canterville. Encore bravo pour les très belles photographies. Je vous embrasse. CA
heu…je rêve souvent que Hugo revient à l’école. Tu me manques Hugo, t’ es vraiment mon meilleur poteau. Je vais bien et toi? ça avait l’air trop bien de se baigner avec les éléphants. Je t’ai vu, même si tu étais caché derrière ta chemise!
Salut la compagnie!!!!!!
Paul
Merci Paul pour ton message je l’ai adoré .
Toi aussi tu me manques .
C’était super les éléphants .
Je te raconterai à la rentrée .
Hugo
Salut vous 4!
C’est super votre tour d’Asie!!!! Mathieu regarde très régulièrement votre site. Paul est triste, il a hâte de retrouver Hugo. lorsqu’il me demande la date des retrouvailles et que je lui dis septembre, il est mécontent… En gros, profitez bien, nous serons heureux de vous revoir en septembre!!!!! Grosses grosses bises à vous!!! On a trouvé que Robin avait bien grandi!!!
Estelle
PS: merci pour la yaourtière!!!!!
Hello Estelle,
Hugo a bien hâte aussi de retrouver Paul et ses autres amis. Tu n’as qu’à dire à Paul fin août, ça paraît moins loin comme ça. C’est vrai que Robin a bien grandi!
Gros bisous et bon courage pour le mois de juin
Claude Lévi-Strauss disait du singe qu’il était à l’homme ce que la limande est à l’espadon: une dégénérescence maculaire. Si je ne partage pas entièrement son point de vue sur le plan bio-chimique, je dois dire que je le rejoins sur le plan philosophique. En plus, il fait des chouettes jeans.
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